Un référendum sur la souveraineté : une exigence internationale incontournable

Deux arguments fondamentaux ont été évoqués récemment pour contredire la nouvelle-ancienne thèse de Jacques Parizeau, de Robert Laplante et de plusieurs jeunes militants actifs au sein du Bloc et du Parti québécois sur la question de la stratégie d’accession à la souveraineté du Québec: la stratégie proposée serait antidémocratique puisque le gouvernement nouvellement élu du PQ n’aurait pas reçu l’aval d’une majorité des Québécois et, dans le cas de figure proposé, un Québec déclarant sa souveraineté dans ces conditions ne recevrait pas la reconnaissance internationale. Ces deux arguments sont hautement valables, puisque sans un appui majoritaire de la nation québécoise, nul ne serait investi de la légitimité nécessaire pour enclencher un processus d’accession à la souveraineté du Québec. Il est certain que la communauté internationale ne serait pas dupe d’un stratagème allant à l’encontre de la volonté populaire.

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